« Un cure-oreille efficace qui remplace le coton-tige décriée par les spécialistes »
Les dernières mesures anti-plastique mettent fin au coton-tige. Au-delà de son impact sur l’environnement, son utilisation est aussi décriée par les spécialistes.

Simple à utiliser, il suffit d’introduire la pelle en inox pour retirer le cérumen sans le pousser au fond de l’oreille.
Cure oreille environ 8 cm.
Pelle réalisée en inox médical 316 L.
Manche et capuchon tournés dans du bois de Charme. Origine France, certifié PEFC.
Teinte à base d’eau et de pigments naturels.
(couleur non contractuelle, la teinte peut varier légèrement à l’application sur le bois,
matériau naturel)


🇫🇷 Escurette – Bretagne (35)
Nous sommes Briac et Sylvie, créateur de l’entreprise Escurette.
La cinquantaine passée, nous donnons un nouveau départ à notre activité… A la tête de l’entreprise familiale depuis une vingtaine d’années, les initiatives n’ont pas manquées, toutes respectueuses des valeurs qui sont les nôtres. Des engagements qui ont du sens.
Les dernières mesures anti-plastique mettent fin au coton-tige. Au-delà de son impact sur l’environnement, son utilisation est aussi décriée par les spécialistes.
Quelle alternative ? Ne cherchez pas, n’inventez rien… Elle existe déjà ! C’est le cure-oreille historique (pelle inox, manche en plastique). Celui de nos grands-parents, des professionnels, des pharmacies… Celui qui a fait ses preuves, l’accessoire des bonnes pratiques. Jamais un médecin n’utilisera autre chose que de l’inox pour les oreilles.
Escurette, le cure-oreille zéro plastique, zéro déchet.
Notre rencontre avec Jérémy, Tourneur d’Art en Bretagne a concrétisé notre projet. Une fabrication sur notre territoire, écologique et responsable. Une démarche qui nous ressemble.

L’Institut National des Etudes Archéologiques Préventives (INRAP) nous éclaire sur l’histoire du cure-oreille. En os, étain, plomb ou encore ivoire, on trouve trace dès l’Antiquité. A l’époque Gallo-Romaine, les nécessaires de toilettes comprenaient alors pince à épiler, cure-dent et cure-oreille en bronze.
Au Moyen-Age, on disait que “toute femme bien organisée possédait sa fourgeoire, contenant l’escurette (cure-oreille), la furgette (cure-ongle) et le fusequoir (cure-dent)”. On dit alors que l’on escure (vb. escurer) l’oreille. Il est présent dans la majorité des foyers jusque dans les années 60.
Au Japon, le curage d’oreilles appelé “mimikaki” (mimi : oreille, kaki : nettoyer) est un procédé familial ancestral. Tout comme en Inde, cette méthode se développe pour devenir une pratique professionnelle incontestée : on trouve alors des cureurs d’oreilles en instituts voire même dans les rues.
Délaissé au profit du coton-tige dans les années 60 (les effets de la société de consommation…), le cure-oreille est pourtant utilisé depuis tout temps par les professionnels de la santé.
Son efficacité n’est plus à démontrer : Escurette, la méthode historique zéro plastique.